Ce café m'a attirée par sa terrasse bohème (ce n'est pas un style forcément très à la mode à Odessa) : des fanions, des bancs multicolores et des bicyclettes peintes qui servent de port pot-de-fleur, le tout à l'ombre d'un grand marronnier. La carte est fournie (entrées, soupes, salades, poissons, viandes, pâtes, dessert entre 40 et 120 uah). Le service est rapide, et le WIFI marche bien. Je commande une salade Caesar, correcte mais loin d'être la meilleur que j'ai jamais mangé (d'accord, la Caesar n'est pas vraiment un plat typique ukrainien, mais elle a l'avantage de pouvoir servir d'étalon, vu qu'actuellement on en trouve à peu près dans tous les restaurant du monde). Je lorgne un peu dans les assiettes des tables voisines : les soupes ont bonne mine, et les pâtes semblent plutôt bien se défendre. Bref, c'est plutôt une bonne adresse, pas trop chère pour le centre touristique (une Caesar 60 uah + une bière 17 uah, soit environ 7€50).
hello Julie
RépondreSupprimerDéjà de belles couleurs, et le parti pris de parler des choses positives, tu vas t'envoler comme un papillon, légère... Des origines entre Odessa et Tchernovitz, bravo! (ça m'avait échappé si tu en avais parlé)
J'ai lu l'historique, je m'étais beaucoup documenté sur la guerre de Crimée (de beaux costumes de zouaves, c'est la période précédent la guerre de sécession américaine, et on retrouve ces costumes dans les unités d'élites du Nord et du Sud en guerre, chez les ricains, un jour je dessinerai ça sur du verre!) et donc je parle de ça car tu as évoqué le sujet. Eh bien la chose la plus géniale c'est qu'on a appris à fumer des roulées papier grâce aux ottomans, et ça dure toujours !
Bonne route!
(je vais te lire avec attention, sache le, même si je ne commente pas!)